Amandine Dewaele

Café-débat sur la mobilité en Corrèze

La conseillère régionale écologiste de Corrèze Amandine Dewaele organise un café-débat à Égletons sur le thème de la mobilité dans ce département, ce samedi 27 mai.

La Région a la compétence sur les transports : TER, lignes de cars régionaux, scolaires et mobilités plus largement (aides aux vélos par exemple). La conseillère régionale écologiste de Corrèze Amandine Dewaele invite les salarié·es, retraité·es, personnes dans la précarité, étudiant·es, lycéen·nes et parents solos à échanger sur les difficultés à se déplacer en Corrèze et sur les solutions possibles.

« Lors de ce café-mandat, nous aborderons entre autres, la nécessité de rénover des lignes ferroviaires structurantes. »

« Les habitant·es de zones rurales ou de communes mal desservies sont quotidiennement confronté·es à des difficultés de transport, souligne l’élue corrézienne. Les temps de trajet en bus ou en train y sont cinq fois plus longs qu’en voiture, selon une étude* (2019) de l’Autorité de la qualité de service dans les transports. Le réseau français en milieu rural est beaucoup moins performant que chez nos voisins allemands et espagnols. Lors de ce café-mandat, nous aborderons, entre autres, la nécessité de rénover des lignes ferroviaires structurantes telle la POLT (Paris-Orléans-Limoges- Toulouse), d’améliorer l’offre et les fréquences des trains, TER, bus, sans oublier la question des tarifs, annonce l’élue corrézienne. Il s’agit de se poser la question des priorités de l’État et de la Région, alors que leurs choix s’orientent sur la construction de deux LGV, très coûteuses et inutiles, notamment pour le Limousin ».

 

Amandine Dewaele se tiendra à l’écoute des participant·es : elle souhaite porter la voix des Corrézien·nes à la Région durant son mandat.


Rendez-vous le samedi 27 mai à 17h chez une habitante d’Égletons. Sur réservation : 06 10 89 15 90.

 

 

Les élu·es écologistes de la Région se mobilisent contre la coupe rase de feuillus au Bois du Chat à Tarnac

Depuis novembre 2022, une coupe rase de parcelles forestières privées dont 6 hectares de feuillus centenaires a débuté au lieu-dit Le Bois du Chat, sur la commune de Tarnac (19, Corrèze).

Interrompue par un collectif d’habitant·es constitué face à la menace, accompagné·es d’élu·es et militants écologistes du Limousin, cette coupe rase cristallise une forte opposition et suscite des crispations entre environnementalistes et forestiers.

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Interrompue par un collectif d’habitant·es constitué face à la menace, accompagné·es d’élu·es et militants écologistes du Limousin, cette coupe rase cristallise une forte opposition et suscite des crispations entre environnementalistes et forestiers.

À l’occasion de la séance plénière du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine du lundi 27 février 2023, les élu·es du groupe écologiste, solidaire et citoyen ont posé une question orale sur ces coupes rases. La conseillère régionale de Corrèze Amandine Dewaele a également envoyé un courrier au préfet de Corrèze, Étienne Desplanques, et a sollicité un entretien auprès du président de Région Alain Rousset pour demander à la majorité de prendre des mesures afin de protéger ce bois.

À La Chapelle, lieu-dit Le Bois du Chat, sur la commune de Tarnac (19), situé en tête de bassin versant de la Vienne, une coupe rase a débuté fin 2022 en bord de Vienne, détruisant un ruisseau, sur des parcelles forestières privées.

Parmi ces parcelles, on trouve 6 hectares de feuillus centenaires, hébergeant des espèces classées liste rouge (chiroptères). Ceci afin d’y planter des résineux. Un comité spontané de défense s’y étant opposé, le travail des forestiers est suspendu.

 

« La forêt constitue un écosystème précieux pour atténuer les effets du changement climatique et pour l’équilibre de la biodiversité, a souligné Amandine Dewaele, lors de la question orale en séance plénière du 27 février. En outre, les coupes rases dans ce bois sont situées dans une zone Natura 2000. Elles sont en contradiction avec la charte forestière du parc naturel régional (PNR) de Millevaches. »

 

Comme l’indiquait le texte de la question orale, « en tant que membre du syndicat de gestion du PNR, le Conseil régional ne peut rester silencieux face à ces coupes incompréhensibles en 2023, particulièrement dans une région fortement impactée par les incendies de forêts. Si le Limousin est une zone importante de sylviculture, celle-ci doit adopter des méthodes réellement durables et ne pas en rester au stade des discours de bonne intention. »

« Quelles sont les ambitions de la Région pour renforcer la charte du PNR de Millevaches dans le sens d’une plus forte protection des forêts ?”, »​

« Quelles sont les ambitions de la Région pour renforcer la charte du PNR de Millevaches dans le sens d’une plus forte protection des forêts ? », a demandé Amandine Dewaele au président de la Région Alain Rousset en séance plénière fin février, lors d’une question orale qu’elle posait pour le groupe écologiste, solidaire et citoyen de la Région Nouvelle-Aquitaine – à visionner ci-dessous.

 

« Les événements récents qui ont fait monter la tension sur le site du Bois du Chat ont mis en lumière l’antagonisme profond entre le droit absolu de propriété et les changements nécessaires de gestion forestière face à une biodiversité gravement menacée et au dérèglement climatique », a souligné la conseillère régionale écologiste de Corrèze.

 

Amandine Dewaele a fait partir un courrier le 7 mars au préfet de Corrèze, Étienne Desplanques, à Nicolas Surugne, directeur régional de l’Office français de la biodiversité en Nouvelle-Aquitaine, à Alain Dutarte, président de l’Agence régionale de la biodiversité de Nouvelle-Aquitaine, à Philippe Brugere, président du parc naturel régional Millevaches en Limousin, à Annie-Claude Raynaud, présidente du Conservatoire d’espaces naturels Limousin, à Philippe Sauvage, président du Conservatoire d’espaces naturels Nouvelle-Aquitaine et aux Centres régionaux de la propriété forestière de Bordeaux et Tulle. Amandine Dewaele a également obtenu un entretien téléphonique avec Alain Rousset, président de la Région, le 15 mars prochain. Les élu·es du groupe souhaitent un engagement de la Région dans la préservation des écosystèmes et demandent à l’OFB de les tenir informé·es en cas d’infractions constatées sur les parcelles concernées.

La question orale d'Amandine Dewaele posée lors de la plénière de février 2023

Les invités de Mediapart

Retrouvez également la tribune du 4 mars sur le Club de Mediapart « Pour des forêts vivantes, il est temps de changer nos pratiques sylvicoles », cosignée par nos élu·es.

Retour sur le café-débat sur les trains du quotidien et la mobilité en Corrèze

Amandine Dewaele, conseillère régionale de Corrèze, a organisé à Tulle samedi 28 janvier un premier café débat intitulé « Café de mandat » à La Dépaysante, un café/boutique de producteurs du territoire de Tulle Agglo.

Le principe du café-mandat : un endroit convivial, un thème, un.e invitée expert.e et un lieu différent à chaque fois pour aller à la rencontre des habitant.es sur tout le département.

L’objectif d’un café mandat est multiple mais il est d’abord de donner la parole aux habitant.es du territoire sur lequel Amandine Dewaele est élue. Il est aussi de faire connaitre les compétences de la région qui touchent au quotidien des corrézien.nes.

Thème : Trains du quotidien & mobilité en Corrèze & en Limousin

Invité : Hervé Pineaud

Cheminot, syndicaliste CGT, membre du Ceser (Conseil économique, social et environnemental régional)

Une vingtaine de personnes étaient présentes, citoyen·nes et militant·es de Tulle mais aussi de Brive, Egletons, Naves. Après un tour de table, où chacun a pu dire son intérêt pour la rencontre, l’élue et son invité  ont répondu aux questions. Les retours d’expérience ont été apportés par les participant.es sur les difficultés liés aux trains et à l’absence de transports réellement adaptés au quotidien en Corrèze mais aussi sur les lignes intercités (POLT).

 

Des remarques sur l’inefficacité des transports à la demande (TAD), une bonne initiative mais pas assez mise en avant et donc non fonctionnelle ont été évoqués. La solution passerait par l’accompagnement de la population pour réfléchir à ce qui est le plus cohérent et le recensement des personnes en situation d’isolement à l’échelle communal.

 

Actuellement le constat est sans appel : un mauvais état des lignes et l’absence de fiabilité des trains , la fermeture des gares et des buffets, des guichets et même des toilettes, pas d’accueil et d’adaptation pour les PMR. le tout numérique est catastrophique. Que font les gens sans smartphone ? Des horaires insuffisants, le retour du tarif au km, le problème des jeunes, lycéen·nes, apprenti·es, étudiant·es pour accéder à leur lieu d’études ont aussi fait débat. L’interruption de la ligne Brive/Tulle/Ussel vers Clermont Ferrand depuis 2014, créant un vrai déficit de circulation sur le territoire, a été évoqué plusieurs fois.

Les cars régionaux et le vélo, la multimodalité, la notion de carte multimodale de l’existant ont été abordés en fin de débat. Une proposition de faire une carte annuel à partir de la carte solidaire (aujourd’hui uniquement pour les voyages occasionnels). Un participant a parlé de son projet de tester une flotte de vélos couchés électriques sur l’agglo beaucoup plus sécurisant que les vélos classiques.

 

Amandine Dewaele a informé les participant.es qu’il leur était possible de remonter besoins et remarques des usagers sur le site de la région, et sur celui des élu·es écologistes régionaux. Hervé Pineaud a mis en avant le fait de participer aux comités de ligne de la Région. La réunion s’est terminé après 2 heures d’échanges intéressants avec l’idée de créer un collectif ou une association d’usagers des transports couvrant toute la Corrèze.

Retrouvez l'interview d'Amandine Dewaele sur Radio Totem en amont de l'événement (jeudi 26 janvier)

Un café-débat sur les trains du quotidien et la mobilité en Corrèze le samedi 28 janvier à Tulle

La conseillère régionale écologiste de Corrèze Amandine Dewaele organise un café-débat sur le thème des trains du quotidien et de la mobilité en Corrèze et en Limousin à Tulle, samedi 28 janvier.

Ouverture à la concurrence des TER, LGV, ligne POLT (Paris-Orléans-Limoges- Toulouse)… tous ces sujets brûlants seront débattus durant ce café-mandat. “Nous aborderons la nécessité de rénover des lignes ferroviaires telle la POLT, d’améliorer l’offre, les fréquences et capacités des trains, la régularité des TER, de mettre en place de tarifs attractifs afin d’encourager l’usage de ce mode de transport décarboné. Plutôt que de développer deux LGV, coûteuses, longues à mettre en place et écocides,” souligne l’élue corrézienne.

Hervé Pineaud, cheminot, syndicaliste CGT et membre du Conseil économique, social et environnemental régional (CESER) de Nouvelle-Aquitaine sera l’invité de ce temps d’échange ouvert à toutes et tous.

Amandine Dewaele se tiendra à l’écoute des participant·es : elle souhaite porter la voix des Corréziens à la Région durant son mandat.

Rendez-vous samedi 28 janvier dès 17h au café La Dépaysante, 24-26 rue Jean Jaurès à Tulle.

Extension d’une méga-scierie en Corrèze : une méga menace pour l’environnement et les riverains !

Le groupe écologiste, solidaire et citoyen apporte son soutien aux sept personnes appelées à comparaître ce début janvier pour avoir participé à des manifestations contre les mégabassines.

Implantée à Égletons (Corrèze), la S.A.S. Fargesbois souhaite doubler la surface de son vaste complexe industriel. Les élu∙es écologistes de la Région Nouvelle-Aquitaine dénoncent les multiples impacts environnementaux et sociaux dramatiques de ce projet : déforestation à outrance, disparition de la biodiversité, pollution de l’eau, accaparement de terres agricoles, expulsion d’habitant∙es et agriculteurs, nuisances sonores, problèmes de circulation routière…

« À l’heure où nous devons plus que jamais préserver la forêt en la gérant durablement pour limiter le dérèglement climatique et l’effondrement de la biodiversité, le projet d’extension de la méga-scierie Fargesbois à Égletons, commune de 4295 habitant·es en Haute-Corrèze, est une aberration totale », estime Amandine Dewaele, conseillère régionale écologiste de Corrèze.

 

Le groupe vendéen Piveteau Bois, à qui appartient Fargesbois, souhaite faire passer sa production à Égletons de 150 000 à 250 000 m3/an pour le sciage (+ 66 %), selon un article publié le 6 novembre dans Médiapart. Cela représente plus de la moitié du bois de sciage coupé annuellement dans la forêt limousine.

 

Le nombre de camions empruntant chaque jour la route du site devrait quant à lui doubler, pour s’élever à 165 en 2026.

Pour atteindre son plein potentiel, la méga-scierie lorgne sur des terres de riverains et d’exploitants agricoles voisines afin d’y stocker ses grumes. Tablant sur l’hypothétique création d’une cinquantaine d’emplois, la communauté de communes de Ventadour-Égletons-Monédières (CVEM) a lancé dès l’été 2021 une procédure d’expropriation.

 

« Nous dénonçons les coupes rases, la disparition de la biodiversité, le processus d’artificialisation de seize hectares de terres agricoles, le remblaiement de zones humides, l’expropriation de riverains et le bradage de notre agriculture au profit d’industriels de la forêt, énumère Amandine Dewaele. Nous alertons sur le danger pour l’environnement. Aux méfaits environnementaux et sociétaux, s’ajoutent des nuisances sonores pour les riverains qui subissent, de l’aube au crépuscule, les bruits provoqués par les machines de traitement, conditionnement et stockage du bois », poursuit l’élue. Elle s’insurge contre « l’indulgence des pouvoirs publics qui ont permis plusieurs extensions sauvages de la méga-scierie ces dernières années ».

 

En 2017, une inspection de la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (Dreal) avait en effet constaté que l’emprise industrielle de Fargesbois s’étendait sur 19,9 hectares, alors que l’autorisation d’exploitation obtenue par l’entreprise sept ans plus tôt ne portait que sur 7,1 hectares.

 

En outre, l’enquête d’utilité publique a été menée au pas de charge : la population avait 15 jours pour s’exprimer, en pleine période Covid, du 22 novembre au 7 décembre 2021.

« Ce projet d'extension est dévastateur pour la forêt corrézienne : il va totalement à contresens de la feuille de route de transition écologique Neo Terra et d’une gestion durable des massifs forestiers »

La préfecture de Corrèze a déclaré début 2022 l’utilité publique du projet, portant sur 16 hectares de terres, dont 11 doivent revenir à Fargesbois. Le juge d’expropriation doit se rendre sur les lieux le 1er décembre pour évaluer les biens à indemniser. Un recours a été déposé au tribunal administratif contre cette déclaration d’utilité publique (DUP).

 

L’argument mis en avant par certain∙es élu∙es locaux qui soutiennent ce projet écocide est la création d’une cinquantaine d’emplois directs. Mais son hyper-mécanisation ne nécessiterait que peu de personnel. Et c’est la fin programmée des dernières scieries du Limousin. Quel bénéfice pour les Corrézien·nes ?

 

« Ce projet dévastateur pour la forêt corrézienne va totalement à contresens  de la feuille de route de transition écologique Neo Terra et d’une gestion durable des massifs forestiers, proteste l’élue corrézienne. À l’instar de l’association Associtra, les militants écologistes, les élu∙es, des agriculteurs et des riverains se mobilisent sous diverses formes avec notamment, le 1er décembre, un rassemblement devant le domicile d’une octogénaire qui devrait être expulsée. D’autres actions sont envisagées comme une conférence-débat sur l’industrialisation de la forêt en 2023 », annonce Amandine Dewaele.

Halte à la vénerie sous terre du blaireau en Lot-et-Garonne et en Corrèze

Le groupe écologiste du Conseil régional a apporté ses observations sur un projet d’arrêté de la Préfecture du Lot-et-Garonne visant à instaurer une période supplémentaire d’autorisation de la vénerie sous terre, une chasse particulièrement cruelle, alors que le blaireau est une espèce protégée.

 La vénerie sous terre du blaireau ne doit pas être autorisée au-delà du 15 mai, comme le propose un projet d’arrêté préfectoral. C’est ce qu’ont défendu les élu·e·s écologistes lors de la consultation en ligne sur ce projet.

« Le blaireau est un animal paisible et discret, protégé par la Convention de Berne relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l’Europe, rappelle Amandine Dewaele, conseillère régionale de la Corrèze. Cette Convention précise que les dérogations à sa protection sont strictement conditionnées, en cas de dégâts avérés, si aucune alternative à la chasse n’existe. Or les dégâts ne sont que présumés, aucun état des lieux précis ne les quantifient et, quand bien même, des solutions alternatives simples existent : cordelettes enduites de répulsif autour des cultures, par exemple ».

Dans le texte envoyé à la Préfecture, les écologistes mettent aussi en évidence le danger d’autoriser une période de chasse supplémentaire, alors que « les jeunes blaireaux de l’année ne sont pas complètement sevrés au 15 mai et qu’ils restent dépendants de leur mère, pour survivre, au minimum jusqu’au mois d’août. D’autre part, la mortalité juvénile constatée sur cette espèce est très importante, de l’ordre de 50% la première année, due principalement au trafic routier », insistent-ils.

 A ces arguments s’ajoutent le fait que de plus en plus de Préfectures cessent d’autoriser des périodes complémentaires à cette technique de chasse particulièrement cruelle.

« Au terme de plusieurs heures à creuser à la pioche ou la barre à mine pour les atteindre, les blaireaux sont tirés hors de leur terrier à l’aide de pinces puis achevés à la hache ou à la dague, quand ils ne sont pas laissés en pâture aux chiens, décrit Maryse Combres, conseillère régionale du Lot-et-Garonne. C’est un véritable massacre. Arrêtons avec les euphémismes comme « prélever » ou « réguler » et laissons tranquille toute la biodiversité, la vie sauvage associée, qui s’abrite dans ces terriers ! »

 Le groupe écologiste, solidaire et citoyen au Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine